vendredi 4 janvier 2013

Pris pour des enfants.

On nous prend pour qui?!



En ce moment, je me sens d'humeur à écrire quelque ligne. J'ai plus la motivation d'écrire sur mon blog que d'écrire les 15 pages qu'on me demande à l'école pour la rentrer. Foutaise, les 15 pages à rédiger ne serviront strictement à rien, et pourquoi? Car le sujet en question est l'entreprise où l'on travaille. Décrire son activité et autre chose tout aussi inutile et inexploitable. Sachant que je suis dans une petite entreprise, ma rédaction ne se résumera qu'à quelque ligne seulement, qui ne rempliront même pas une demi page. C'est pas tellement gratifiant, sachant que cela va me retomber dessus, je pense, mais qu'importe. Du moment que les notes sont-là, je suis en quelque sorte "immunisée" contre tout type de réflexion du genre "Vous ne bossez pas assez Mademoiselle N" Et j'en passe. Ils aiment bien, même pendant les études supérieurs te faire sentir comme un enfant qui a fait une terrible bêtise et que l'on doit te punir. C'est navrant de voir et de constater cela. Surtout quand on te fout la pression, jusqu'à ce que tu passes ton bac, en te rabâchant que "ça rigole pas après le bac, ce ne sont plus des gamins et les professeurs ne sont plus aussi pédagogique que nous le sommes nous. Il va falloir que vous preniez des notes, que vous soyez plus mature et organisé". Foutaise, j'ai envie de dire, et DEUX FOIS en plus. Déjà au collège on nous disait qu'on allait devoir prendre des notes. J'ai du juste prendre des notes (pour ma part) en sixième pendant le cours d'histoire-géographie (il avait raté sa vocation le pauvre professeur, il a cru qu'il avait à faire à une cours d'élève étant dans une Fac d'histoire. Mais Naturellement!). Sinon plus jamais. Je ne me rappelle pas avoir pris des notes. Mise à part des notes personnelles mais rien de plus. Bref tout ça pour dire qu'on nous traite encore et toujours comme des enfants à bas âge. C'est vrai que la maturité de certain peut prêter à confusion... Je le conçois, et c'est d'autant pour cette raison, que cette école, cette ville, cette ambiance me pourrit. Je ne supporte plus tout ça. Mais je souris malgré tout, pour que ça passe crème vous voyez. Pour pas foutre une ambiance encore plus pourrit dans cette foutue classe de foutu (j'ai un langage très développé dans ce billet).
Mais vous allez me dire "que c'est partout pareil", et oui ça je le sais, mais quand vous ne supportez pas la ville, ça n'aide pas. J'aimerai être dans un endroit qui me plaît où je me sens bien et pas oppressée. Paris est sûrement une magnifique ville touristique, mais quand vous y habitez (même dans sa banlieue , c'est une horreur. Et encore je ne trouve plus Paris aussi beau qu'avant, et je me pose la question si je l'ai trouvé belle un jour... Je ne suis vraiment pas une fille des villes. Du moins des grandes villes comme Paris, où tu ne peux pas y mettre les pieds sans croiser une .. de chien, sans te faire écraser les pieds pas les passants car le trottoir est bien trop étroit pour le nombre de personne y circulant. Bref cette ville est un enfer à lui tout seule. J'ai quelque peu de chance de n'y être que de passage, mais je pense que le pire de tout, ce sont les transports en commun. Mais je vous réserve un autre billet sur la question.