samedi 7 avril 2012


ça recommence...
Mon petit chien a refait une crise encore plus violente que la dernière fois, et pourtant il prend les médicaments que le vétérinaire lui à prescrit. J'ne sais pas trop ce qui lui arrive ni même si cela va recommencer mais je demande qu'une chose c'est de ne pas être seule quand il fera ce malaise là car je ne sais pas si je serai capable de le ramener à la vie ou non. 
Tout ça me fait réfléchir: j'aurai du mal à encaisser ce genre de coup, de savoir que tout le monde peut partir, qu'on ne pourra jamais plus voir ni rien du tout. Être privée des personne qu'on apprécie, c'est franchement très cruel et très dur. La vie sur ce point là a été mal faite mais on se doit d'assumer tout cela et de ne pas trop râler comme mademoiselle Mélanie le fait ici.

Oui mon image est en contradiction avec ce que j'écris plus haut, mais ça montre un peu que je n'ai pas perdu espoir pour autant et que même si je sais qu'on part tous un jour, je me dois de profiter de chaque instant présent de chaque instant avec les personnes que j'apprécie qui compte pour moi, et dieu sait qu'il n'y en a pas beaucoup.

Petite parenthèse, je tenais à signaler à vous lecteur habitant peut-être l'Essonne (91), qu'il y a une sorte de tueur en série dans les environs. "Le présumé coupable serait un homme de type européen, mince, d’une taille d’environ 1,80 m et qui porterait un blouson « bombers » en cuir, une sacoche et un casque de moto sombre" (d'après un article sur le web, même si je pense qu'entre temps le tueur va se changer tout de même). Bref les filles (comme les hommes, car il a tué un homme âgé dans un immeuble), ne vous fiez pas aux charmes des motards dans l'Essonne en ce moment, et faites tout de même attention.

J'commence sérieusement  à en avoir marre d'être ici, il y a toujours des timbrés, j'en ai limite peur de sortir seule. Entre le violeur de la dernière fois, et maintenant le tueur en série, je ne sais même plus où me mettre. Un déménagement est très fortement envisagé à la fin de mon BTS dans deux ans. Cela me laisse le temps de préparer tout ça, de voir où est-ce qu'il est bon de vivre.